Revue Recueil – n°3 – Le Soucis (1986)

Jude Stéfan A la Parque
Bertrand Visage Nouvelle, roman, légende
Elias Hanna Elias Poèmes (traduits de l’arabe par Houda Ayoub)
Gilles Quinsat Images mortifiées
Gérard Macé Enfermé dehors
Jean-Michel Maulpoix Fragments iconoclastes
Jacques Géraud Chef de Gare
Christian Bobin L’insouciant ruisseau qui va en nous
Jean-Noël Chrisment Téguments soucieux
Thierry Cordellier Jouissance du temps
Michel Deguy Contribution au souci
Claude Esteban La distance et l’inachevé
C.G. Guez Ricord Le souci, la mort
J.G. Herder L’enfant de Souci
(traduit par F. Vezin)
Jean-Pierre Lemaire Autour de l’éclipse
Robert… (lire la suite)
Revue Recueil – n°2 – Le Natal (1985)

Jean-Loup Trassard Drakkar
Jean Tortel Suite pour des saisons
Pierre-Albert Jourdan La Marcbe
Miodrag Pavlovic Le Miracle divin (traduit du serbe par Robert Marteau)
Richard Millet Terres infiniment remuées
Pierre Michon L’Empereur d’Occident
Jean Beaufret Notre Creuse (présentation par Gilles Vannier)
Michel Cazenave Il y a quatre consuls
Jacques Cels L’origine d’un goût pour le nulle part
Jean-Noël Chrisment : Le paysage fatal
Jean-Louis Giovannoni » On naît et disparaît à même l’espace »
Roger Giroux Le lac intérieur
Daniel Klébaner Le bleu d’Ile-de-France
Robert Marteau Forestières… (lire la suite)
Revue Recueil – n°1 – Crise de l’amour de la langue ? (1984)

Robert Marteau Fleuve sans fin
Dominique Sorrente Mosaïques d’un ciel toscan
Richard Millet Petite suite de chambres
Franck André Jamme Conques, bannières, feuilles sacrées
François Toussaint Poèmes du japon antique (traduction et commentaire).
Marianne Alphant L’écorchée
Driss Chraibi La source et le fleuve
Benoît Conort Ou 1es flammes
Michel Deguy Réponse
Jean-Paul Goux » Un peu faute de façon »
Charles Juliet Aimer les mots et savoir s’en défier
Michel Karpinski » Au réveil on efface tout »
Daniel Klébaner Quatre incipit pour l’amour de la langue française
Gérard Macé Lettre au verso d’un… (lire la suite)
EMMANUEL FUREIX La France des larmes

Comment lire le politique à travers le culte rendu aux grands morts, héros ou martyrs? À l’âge romantique, de la Restauration des Bourbons au retour des cendres de Napoléon (1814-1840), au moment où la dignité des morts est réaffirmée, où les larmes sensibles sont valorisées, Paris résonne de ces deuils dynastiques, étatiques, contestataires, voire insurrectionnels qui disent les fractures et les efforts de réconciliation d’une société avec elle-même.
Une génération après la Révolution, en plein apprentissage de la vie parlementaire, les affontements politiques s’expriment par des panthéons rivaux, des mémoires contradictoires… (lire la suite)