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JEAN-MICHEL RABATÉ La pénultième est morte

Spectographies de la modernité : Mallarmé, Breton, Beckett et quelques autres

La question d’une histoire de la modernité et d’une redéfinition de ses critères réunit les dix essais formant ce recueil. L’auteur explore ici l’archéologie du concept de « modernité » au sens philosophique (Spinoza, Marx et Freud servent de repères privilégiés) et artistique à la fois.Dans ce domaine, le concept naît d’un soubassement français (Rimbaud, Verlaine et Mallarmé) pour aller vers des métamorphoses plus récentes (Breton, Beckett) ou contemporaines (les essais-romans de Barthes, la poésie de Michaël Palmer).

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La pénultième est morte:
Spectographies de la modernité:
Mallarmé, Breton, Beckett et quelques autres
Le sommaire

Introduction:
«La Pénultième… est morte» 7
Première Partie:
LA COULEUR FANTÔME 21

I. le maître des couleurs qui savent 23
II. «… Ou ne sera pas»:
breton et la beauté convulsive 51
III. «Dis-moi qui tu hantes…»:
Roland Barthes, écrivain fantôme de la modernité 71
Deuxième Partie:
PASSAGE AU NOIR 87

IV. Mort, et qui ne le savait pas 89
V. Verlaine et Mallarmé au défaut des langues 101
VI. De la foule à la masse:
constructions de la modernité (la Vienne de Hermann Broch) 127
Troisième Partie:
LE DEUIL DE LA FORME 151

VII. Beckett et le deuil de la forme 153
VIII. Film de Beckett:
l’hypoténuse de l’œil 177
IX. Du canon moderniste aux écrans postmodernes 189

Conclusion:
Les «Modernes» et leurs spectres 211

Pénultième est morte (La) – Jean-Michel Rabaté 1993