JUDE STÉFAN Oraisons funestes

Oraisons funestes – Jude Stéfan 2003

«Y no quiero inventar o que no sé», je n’aime pas inventer ce que j’ignore, écrit Borges (El cautivo), marquant ainsi le seuil ambigu de la Nouvelle, entre vraisemblance et créativité. Cinq nouvelles amoureuses (La Pharmacienne, Une Pléiade, La Tante Olga), quatre funèbres (Oraison funeste), une dialoguée en leur centre même, pour un ultime effort d’oraison — ou assemblage de mots construits selon le règles du genre, «une chose pour laquelle on n’était pas né» (Musil).… (lire la suite)