OLIVIER BARBARANT Odes dérisoires

Odes dérisoires – Olivier Barbarant 1998

« Un chant précaire, qui tient cependant à chanter, et prétend même se réclamer de grandes formes pour célébrer les tressautements de l’âme: mes émotions sont dérisoires — et j’y tiens. Un goût prononcé pour la disparate: des tas de prunes et Caravage, Aragon et la cathédrale de Laon, des passions anciennes et de plus récentes, des fontaines et du goudron, des lycéens et un vieillard, Bérénice et des fêtes foraines… En amour, je ne choisis pas. Un portrait en feu, et dans tous les sens qu’on voudra… »… (lire la suite)