JUDE STÉFAN Vie de Saint

«Un Saint : qui vit selon la perfection du Néant en une donnée profane vouée à nudité, vengeance, inimitié, duel, collection de dates, camaraderie, agonie même relatés en style sec ou à l’occasion trivial afin de répondre au pire et diversifié quant à la facture — Histoire, Conte, Récit, Lettre, Nouvelles, alternant en dix Variations.»… (lire la suite)
JUDE STÉFAN Scènes dernières

«Encore onze “Histoires de vie-mort”, lesquelles ne font qu’une. Racaille, Retraites, Rats et Ratés nés de vers de La Fontaine; deux éclaircies féminines en non-rencontres de Gina Vialli et de “Le Crémationniste” ; deux amis flaubertiens se retrouvent; puis viendront vers chacun son Jugement déjà premier, son Coma, sa Page des Obsèques, à lui le Nouveau-mort… Au centre: Que des journées !» J.S.… (lire la suite)
JUDE STÉFAN Le Nouvelliste

«Treize mauvaises nouvelles gnostiques! Les jeunes Triestins heureux ne savent pas ce qui les attend: la Beauté accidentée, une Vie de Médiocre, du Suicide dans l’air chez l’oncle Fabian ou chez les germanistes, alors l’inscription au fameux Club de Stevenson, avant la Vieillardise et la notice nécrologique — en illustrations du seul véridique penseur de l’ère : “Un homme qui pratique toute sa vie la lucidité devient un classique du désespoir” (Le Crépuscule des pensées).»… (lire la suite)
JUDE STÉFAN La fête de la Patronne

«Ce titre doit s’entendre moins comme une concession grotesque à des lecteurs indésirables que comme une provocation dégoûtée à l’égard des mœurs humaines découvertes dès les rédactions d’enfance, la perspective d’un triste altruisme pour des jeunes gens infectés d’exigence, la monotonie d’une profession sans âme éclaircie d’amours plurielles, la visite d’un mouroir dominical, ou l’achèvement d’un vaincu de la société: la Fête de la patronne, un toast adressé à l’horreur de naître, la joie d’en finir avec leur curriculum mortis, leur course obligée à l’oubli.»… (lire la suite)