JUDE STÉFAN Le Sillographe

« Faisant suite à Senilia puis Silles – pensées grecques mordantes dues jadis à Timon dit « Le Sillographe » –, ce « diurnal invectif » (contre la Médiocrité, les vulgarismes, le Littérairement correct, la superstition religieuse de retour), daté de 96 à 03, au lieu de tendre à tout dire d’un soi égoïque, ne note que les riens vécus par anecdotes, propos ou fusées – avec en son centre l’imposibilité amoureuse de sortir de soi ou Apories »
J. S.