Article(s) archivé(s) de la catégorie Collection l’or d’atalante

DIDIER COSTE, MICHEL ZÉRAFFA (dir.) Le récit amoureux

DIDIER COSTE, MICHEL ZÉRAFFA (dir.) Le récit amoureux

Colloque de Cerisy-la-Salle

Comment l’amour se raconte-t-il ?
Comment traverse-t-il l’espace du cœur selon sa propre histoire, — ses propres histoires ? À ces questions, Didier Coste et Michel Zéraffa ont voulu répondre en organisant ce colloque, où se sont conjuguées l’esthétique littéraire, la sémiologie, la sémiotique, la sociologie de la littérature, la psychanalyse enfin.

Textes de F. Alberoni, S. Atanassov, D. Bajomée, M. Bossis, D. Coste, C. Delhez-Sarlet, L. Frappier-Mazur, J. Frow, A.-M. Lugan-Dardigna, M. Gagnebin, C. Grivel, R. Hodge, M. Mercier, F. Roustang, H.-G. Ruprecht, M. Schneider, L. Stillman, A. Verjat, M. Zéraffa, M. Zink.

Lire le sommaire

Le récit amoureux
Colloque de Cerisy-la-Salle
Le sommaire
Avant-propos.

Première partie
Histoire littéraire de l’histoire d’amour

STOYAN ATANASSOV
Cauvain : malheur du nom propre et bonheur du récit
MICHEL ZINK
La tristesse du cœur dans Le Livre du Cuer d’Amours espris de René d’Anjou

MICHEL ZÉRAFFA
Raisons du cœur et raison de L’Astrée

LUCIENNE FRAPPIER-MAZUR
Code romantique et résurgences du féminin dans La Comtesse de Rudolstadt

MIREILLE BOSSIS
Manon Lescaut — Leone Leoni : la passion au masculin et/ou au féminin?

MICHEL MERCIER
De La Vagabonde à L’Entrave : le soliloque et le conte

Deuxième partie
L’amour/Les signes

CHARLES GRIVEL
La place d’amour

CLAUDETTE DELHEZ-SARLET
Les choses au pied de la lettre ou
comment l’on passe d’une théologie aux idéologies de l’amour

ROBERT HODGE
Sémiologie de l’amour et du pouvoir: à propos du Roméo et Juliette de Shakespeare

HANS-GEORGE RUPRECHT
Passions récitées et sémiotisation du fantasme: Durrell, Puig, Jabès.

JOHN FROW
Le lieu sémiotique du spectateur dans le discours de l’amour contemporain

Troisième partie
Structures psychiques et récit amoureux

MURIELLE GAGNEBIN
Mille et une Nuits : le dire beaucoup, le faire enfin

FRANÇOIS ROUSTANG
La fiction amoureuse chez Casanova

MONIQUE SCHNEIDER
Le spectre de Don Juan dans l’écriture de Freud

LINDA KLIEGER STILLMAN
« L’Amour au noir » de Marguerite Yourcenar

DANIELLE BAJOMÉE
Amour spéculaire et inceste dans l’œuvre de Marguerite Duras

Quatrième partie
Discours amoureux et dire social

ALAIN VERJAT
«Et si je t’aime, prends garde à toi !» (Le discours amoureux dans le mélodrame social d’Eugène Sue)

FRANCESCO ALBERONI
L’amour à l’état naissant comme figure et mouvement

ANNE-MARIE LUGAN-DARDIGNA
Presse du coeur et roman rose : la quête de l’amour vrai ou comment se trouver un maÎtre

DIDIER COSTE
Le genre du roman rose et la dissidence amoureuse

Récit amoureux (Le) – Didier Coste et Michel Zéraffa 1984
Paru en 1984
15 x 22 cm, 320 pages
ISBN 2.903528.45.4
23 €

CLAUDE WIART (dir.) Art et fantasme

CLAUDE WIART (dir.) Art et fantasme

Cet ensemble de textes, issus des conférences annuelles du Centre d’Étude de l’Expression (Hôpital Sainte-Anne), porte sur les relations de l’art et de la psyché. Le fantasme y est abordé dans ses dimensions psychologiques, cliniques, sociologiques, psychopathologiques, analytiques. On conspire à élucider les rapports entre représentation et langage.

Textes de D. Anzieu, R. Chemama, M. Gagnebin, G. Lanteri-Laura, J.-M. Palmier, G. Pankow, P.C. Racamier, J.-M. Ribettes, G. Rosolato, B. This, S. Tisseron, G. Wajeman, C. Wiart.

Lire le sommaire

Art et fantasme
Le sommaire

Propos sur la recherche«Art et Fantasme»
GEORGES LANTERI-LAURA
La psychopathologie de l’art comme stratégie de la singularité
CLAUDE WIART
Des fantasmes et des « ismes» en peinture
PAUL-C. RACAMIER
Sur la fonction du fantasme dans la création artistique
et dans la psychose
DIDIER ANZIEU
Samuel Beckett : de la psychanalyse au décollage créateur
JEAN-MICHEL PALMIER
Fantasmes de folie et du crime sous la République de Weimar
SERGE TISSERON
Le dessein du dessin : geste graphique et processus du deuil
GÉRARD WAJEMAN
Narcisse ou le fantasme de la peinture
ROLAND CHEMAMA
Michel Leiris ou l’écriture du fantasme
MURIELLE GAGNEBIN
Les seins coupés dAgathe
CLAUDE THIS
Sentiment océanique, lien d’amour et coupure signifiante
GUY ROSOLATO
Le signifiant de démarcation et la communication non verbale
JEAN-MICHEL RIBETTES
La troisième dimension du fantasme
GlSELA PANKOW
Formes et fantasmes structurants dans la psychose
BERNARD THIS
Le sentiment océanique et l’haptonomie

Art et fantasme – Claude Wiart (dir.) 1984
Paru en 1984
15 x 22 cm, 256 pages
ISBN 2.903528.32.2
20 €

JEAN-MICHEL RABATÉ La pénultième est morte

JEAN-MICHEL RABATÉ La pénultième est morte

Spectographies de la modernité : Mallarmé, Breton, Beckett et quelques autres

La question d’une histoire de la modernité et d’une redéfinition de ses critères réunit les dix essais formant ce recueil. L’auteur explore ici l’archéologie du concept de « modernité » au sens philosophique (Spinoza, Marx et Freud servent de repères privilégiés) et artistique à la fois.Dans ce domaine, le concept naît d’un soubassement français (Rimbaud, Verlaine et Mallarmé) pour aller vers des métamorphoses plus récentes (Breton, Beckett) ou contemporaines (les essais-romans de Barthes, la poésie de Michaël Palmer).

Lire le sommaire

La pénultième est morte:
Spectographies de la modernité:
Mallarmé, Breton, Beckett et quelques autres
Le sommaire

Introduction:
«La Pénultième… est morte» 7
Première Partie:
LA COULEUR FANTÔME 21

I. le maître des couleurs qui savent 23
II. «… Ou ne sera pas»:
breton et la beauté convulsive 51
III. «Dis-moi qui tu hantes…»:
Roland Barthes, écrivain fantôme de la modernité 71
Deuxième Partie:
PASSAGE AU NOIR 87

IV. Mort, et qui ne le savait pas 89
V. Verlaine et Mallarmé au défaut des langues 101
VI. De la foule à la masse:
constructions de la modernité (la Vienne de Hermann Broch) 127
Troisième Partie:
LE DEUIL DE LA FORME 151

VII. Beckett et le deuil de la forme 153
VIII. Film de Beckett:
l’hypoténuse de l’œil 177
IX. Du canon moderniste aux écrans postmodernes 189

Conclusion:
Les «Modernes» et leurs spectres 211

Pénultième est morte (La) – Jean-Michel Rabaté 1993
Paru en 1993
15 x 22 cm, 240 pages
ISBN 2.87673.166.5
20.50 €

JEAN-MICHEL RABATÉ La beauté amère

JEAN-MICHEL RABATÉ La beauté amère

Fragments d'esthétiques: Barthes, Rousseau, Mishima, Broch…

Autant Freud avouait n’avoir que peu de choses à dire sur la beauté, autant les écrivains nous disent combien le côté ineffable, voire mystique, d’une expérience du beau se trouve pris d’avance dans une fiction, dans une intrigue qui se noue aux racines de la subjectivité. Genèse du récit, généalogie des pulsions: l’auteur reprend le fil des concepts psychanalytiques, et montre en quoi les silences de Freud, ses réticences mêmes, ouvrent une problématique, développée par Lacan, qui forme peut-être l’envers des esthétiques classiques. La notion d’une beauté tragique de l’entre-deux-morts, écran tendu sur la fascination du vide et de la mort, apparaît comme la voie royale donnant accès à la plus grande splendeur du texte en son inépuisable franchissement des limites.

Lire le sommaire

La beauté amère:
Fragments d’esthétiques: Barthes, Rousseau, Mishima, Broch…
Le sommaire

Introduction
Eclats

Chapitre I
Les pointes du jour
(Barthes, La Chambre claire)

Chapitre II
Le téton borgne et le point aveugle de la chair
(Les Confessions de Rousseau et Mishima)

Chapitre III
L’or et l’ombre
(Sur le Pavillon d’Or)

Chapitre IV
La beauté tragique et la , seconde mort  »
(La tragédie, de Mishima à Antigone)

Chapitre V .
Le jeu avec le feu
(Hermann Broch, La Mort de Virgile)

Conclusion
Eclairs
(Mishima avec Sade)

Notes

Beauté amère (La) – Jean-Michel Rabaté 1986
Paru en 1986
15 x 22 cm, 208 pages
ISBN 2.903528.66.7
16 €

JULIEN MILLY Au seuil de l’image

JULIEN MILLY Au seuil de l’image

Lieu d’où ressort une puissance de métamorphoses, le seuil ouvre l’image au déséquilibre. Cet ouvrage met en évidence les différentes identités de l’entre. Y sont saisies des organisations spécifiques de l’intermédiaire : de la peinture (Veneziano, Botticelli, Vermeer, La Tour, Rembrandt, Music, Velickovic) à la poésie (Bonnefoy, Jabès), de la photographie (Alain Fleischer, Jeff Wall) aux installations (Christian Boltanski) et au cinéma (Bergman, Antonioni, Sokurov, Claire Denis). Des œuvres filmiques contemporaines (Kiarostami, Lars von Trier, Wong Kar-Wai) précisent les caractéristiques actuelles d’une écriture du seuil. Perçu comme un « lieu » à part entière, le seuil dévoile sept fonctions, de même qu’il devient un outil heuristique pour penser l’image.

 

Biographie

Docteur en esthétique et en sciences de l’art, Julien Milly enseigne à l’Université de la Sorbonne Nouvelle - Paris 3.

Au seuil de l'image – Julien Milly 2012
Paru en 2012
15 x 22 cm, 340 pages
ISBN 978.2.87673.579.8
2! €

CATHERINE MAVRIKAKIS La mauvaise langue

CATHERINE MAVRIKAKIS La mauvaise langue

Essai sur la décomposition des langues

La langue n’est-elle pas, par définition, inadéquate, mauvaise? Pour pallier ses défauts, le linguiste, l’écrivain, le philosophe ou le fou se met à l’écoute; il entend dans une autre langue ce qui ne pouvait s’énoncer dans l’impureté de la sienne propre.
Travaillant le concept de crypte, l’auteur met au jour, à travers les œuvres de Mallarmé, Nodier, Hölderlin, Khlebnikov, Hofmannsthal et le cas Schreber, les filiations ratées entre la langue pure et la langue familière, les généalogies impossibles entre langue morte et langue vivante, les héritages impensés du père au fils, de la mère à la fille, les contaminations terrifiantes du corps d’une langue à un autre corps. C’est du secret composant et décomposant toute langue qu’il s’agit ici.

Lire le sommaire

La mauvaise langue:
Essai sur la décomposition des langues
Le sommaire

introduction 7

I. Le refus de l’arbitraire du signe: linguistique et poésie 13

Linguistique et arbitraire du signe, p. 17. Linguistique: science ou poésie?, p.18. Le retour à la langue sans perte chez Khlebnikov, p.20. L’étymologie et le radical des mots comme source de la langue universelle, p. 25. La verbo-création ou le continuum de la langue, p. 28. Refus de la filiation et de l’histoire, p. 30. La langue doit être indéchiffrable ou l’impératif khlebnikovien, p. 31. Ecriture et traduction, p. 32.
II. Daniel-Paul Schreber ou la folie du langage 35

La descendance grammaticale, p. 37. L’innommable père, p.39. Dieu parle allemand p. 42. La féminité contaminante, p. 44. Tous les mots se ressemblent, p.45. L’altération du nom du père, p. 48. L’immaculée-conception, p. 50.
III. Mallarmé ou le tombeau du français 53

Mallarmé et l’anglais, p. 56. Les langues-mères et les langues-filles: l’espace familial, p. 57. L’anglais et la légitimité de la descendance, p. 58. La langue mère et morte, p. 60. L’anglais, crypte du français, et la décomposition du corps, p. 62. La science comme fondation de la littérature, p. 64. Retrouver la virginité de la langue, p. 65. La voix anglaise du français ou comment traduire Mallarmé en français, p. 67. Le palimpseste du texte, p. 69. Le soleil, le chaud et le froid du tombeau de la langue, p. 72. La langue sexuée ou la menace du féminin, p. 74. L’argent et la création, p. 77. La voix, la bouche et l’oreille de l’autre, p. 79.
IV. Le pourrissement de la langue dans la lettre
de Lord Chandos de Hugo von Hofmannsthal 83

L’inscription dans la descendance p. 85. Le féminin comme lieu de contamination, p. 101.
V. Langue et fondation de la littérature
chez Charles Nodier 107

Littérature et imitation, p. 109. Le nom du texte efface le nom du père, p. 116. La fin du livre, p. 124. Les silences du langage, le blanc dans l’écriture, p. 127.
VI. Quand la philosophie allemande parle grec 131

Le fantôme de la Grèce, p. 133. Philologie et philosophie, p. 134. La double crypte du grec et de l’allemand: le privilège d’un peuple, p. 138. L’impossible appropriation du propre, p. 140. La question du père chez Hölderlin, p. 144. L’héritage ou la filiation Hölderlin-Heidegger, p. 148.
conclusion 151
Bibliographie 155

Mauvaise langue (La) – Catherine Mavrikakis 1996
Paru en 1996
15 x 22 cm, 176 pages
ISBN 2.87673.147.9
18 €

JEAN GUILLAUMIN Entre blessure et cicatrice

JEAN GUILLAUMIN Entre blessure et cicatrice

Le destin du négatif dans la psychanalyse

Jean Guillaumin soutient dans ce livre deux thèses, qui font mieux comprendre l’originalité et la force toujours intacte du dispositif freudien face au négatif.
Il montre d’abord que la psychanalyse n’élabore l’expérience négative qu’en lui opposant, comme pour la capter dans un miroir, une pratique elle-même organisée en son centre par ce qu’il nomme un opérateur négatif.
Il soutient aussi l’hypothèse hardie que le système lui-même des notions théoriques qu’a engendrées la pensée de Freud est accordé et homologue au dispositif praticien qui le fonde et dont il demeure le garant. Les concepts majeurs de la théorie analytique véhiculent en effet une épistémologie des limites du représentable, dotée d’une cohérence spécifique, qui lance un défi à l’illusion positiviste, toujours portée à ôter du discours sur l’homme ce qu’elle n’en peut réduire à des schèmes opératoires.

Lire le sommaire

Entre blessure et cicatrice:
le destin du négatif dans la psychanalyse
Le sommaire

Introduction .
Chapitre I
La pensée du négatif au fondement de la psychanalyse: entre pratique et théorie
Chapitre Il
La blessure des origines.

Chapitre III
Règles, cadre et transgression en psychanalyse : de l’essence négative des règles comme «fondement» du procès analytique

Chapitre IV
Négation, négativité, renoncement, création

Chapitre V
Le Préconscient et le travail du négatif dans l’interprétation

Chapitre VI
Névrose, «négatif de la perversion», «clivage du Moi», perversion du travail du négatif au-dedans du moi

Chapitre VII
La Pulsion de mort et la négativité dans la pensée de Freud, dans les années vingt

Entre blessure et cicatrice – Jean Guillaumin 1987
Paru en 1987
15 x 22 cm, 224 pages
ISBN 2.903528.94.2
18 €

ANDRÉ GREEN Propédeutique

ANDRÉ GREEN Propédeutique

La métapsychologie revisitée

La métapsychologie de Freud, issue d’une pensée qui, à bien des égards, continue d’être rattachée à des conceptions du siècle dernier, est critiquée de toutes parts. Mais André Green se refuse à l’abandonner, parce que les solutions de remplacement ne sont guère plus convaincantes. Cependant, la conserver nécessite aussi de la transformer à la lumière de ce qu’on sait aujourd’hui et que Freud ignorait. C’est à quoi s’attache l’auteur dans cet ensemble d’essais qui constituent les étapes préparatoires à la rédaction d’ouvrages plus généraux et éclairent par là même l’ensemble de l’œuvre d’André Green.

Propédeutique – André Green 1995
Paru en 1995
15 x 22 cm, 320 pages
ISBN 2.87673.214.9
27 €

JEAN GILLIBERT Folie et création

JEAN GILLIBERT Folie et création

À travers le Roi Lear, le Vautrin de Balzac, les œuvres de Nietzsche, Hugo, Artaud, Nerval, J. Gillibert opère quelques coups de sonde dans folie et création entremêlées et démêlées. Il en ressort, c’est sa thèse, que les formes de la folie ressemblent à s’y méprendre aux forces décréatives de la création; mais les premières ne libèrent qu’un défi destructeur et les autres, au-delà de toute déchéance et par mutation, délivrent la violence des premières libertés.

Folie et création – Jean Gillibert 1990
Paru en 1990
15 x 22 cm, 208 pages
ISBN 2.87673.109.6
17 €

JEAN GILLIBERT Le psychodrame de la psychanalyse

JEAN GILLIBERT Le psychodrame de la psychanalyse

On a considéré le «psychodrame» comme une psychanalyse appliquée. Ses détracteurs lui ont refusé droit de cité comme thérapeutique et comme pensée analytique. C’était oublier: d’une part que, parti de l’hypnose, de l’abréaction et de l’hystérie, Freud renverse, modifie, voire récuse, toutes les doctrines de la «représentation», en inventant la cure de divan; d’autre part qu’une théorie du jeu avait été esquissée par Freud. Ici l’auteur prolonge, et quelquefois contredit, ces pensées de Freud, en montrant que, dans le jeu du psychodrame, il n’y a pas de «représentation», même inconsciente, sans représentation de soi. Enfin, le psychodrame psychanalytique apparaît, par-delà les jeux de rôles, comme le dernier bastion de défense des scènes «privées» à plusieurs, car il déjoue les effets de représentativité propres aux identifications narcissiques; d’où son pouvoir thérapeutique et ses indications cliniques.

Lire le sommaire

Le psychodrame de la psychanalyse
Le sommaire

Première partie
Métapsychologie du jeu dans et par le psychodrame
I. Condensé historique

Il. Linéaments du psychodrame en psychanalyse
Le cadre. – Les séquences. Les sujets jouant. – Le sujet, objet du jeu. La référence de départ. – L’unité primitive.

III. Histoire sexuelle du jeu
Le ludisme infantile. – Le roman théâtral.

IV. L’agir dans le jeu
Déjouer. – Névrose actuelle du jeu. – La ~, représentation  » est une doctrine. – Le sujet qui s’énonce. Mimésis et catharsis. – Inconscient ou/et a-conscient.

V. L’événement symbolique du « je »

VI. En finir avec la doctrine de la représentation

VIL Ethique thérapeutique du jeu

VIII. Les conflits aux émancipations difficiles

Deuxième partie
Métapsychologie de la cure par le psychodrame

L’identification narcissique. – Les troubles de l’identité. – L’identité sexuelle. – L’identité sexuée. – Socialité du jeu.

Conclusion
Psychomachie

Psychodrame de la psychanalyse (Le) – Jean Gillibert 1985
Paru en 1985
15 x 22 cm, 168 pages
ISBN 2.903528.54.3
15 €